05 juin 2020
Bulletin interne de l'Institut Pasteur
Aujourd’hui les associations thérapeutiques recommandées contre le paludisme sont basées sur une molécule appelée artémisinine ou certains de ses dérivés. Cependant, le risque que le Plasmodium falciparum, parasite responsable de la plupart des cas de paludisme, finisse par développer une résistance généralisée au médicament, doit être pris au sérieux. Les chercheurs de l’Institut Pasteur de Guyane ont étudié l’impact d’une mutation génétique du Plasmodium falciparum sur l’efficacité des traitements.