Renforcer les actions du réseau

L’Institut Pasteur renforce sa coopération avec le Japon

Le 6 juillet dernier, Christian Bréchot, directeur général de l’Institut Pasteur, a célébré le premier anniversaire de la Fondation Pasteur Japon lors d’un séminaire scientifique aux côtés de personnalités scientifiques japonaises. Le lendemain, il a signé un accord de partenariat avec le National Center for Global Health and Medicine (NCGM). Cette signature, qui vient renforcer le partenariat de recherche sur le paludisme établi depuis 2013 entre l’Institut Pasteur du Laos et le NCGM, a également pour ambition de permettre le développement de nouvelles aires de recherches et autres opportunités de coopération entre les deux institutions en Asie et en Afrique.

Collaboration avec l'université Hamad Bin Khalifa dans le domaine de la formation sur la recherche génomique, la médecine de précision et la prévention des maladies

Vendredi 29 septembre 2017, Christian Bréchot a accueilli sur le campus de l'Institut Pasteur à Paris, Son Excellence Sheikha Hind bint Hamad Al Thani, Présidente de l'université Khalifa Bin Hamad, vice-présidente et directrice générale de la Qatar Foundation pour la signature d’un protocole d'entente.

Cet accord sert de base à la construction de projets de recherche conjoints, à l'établissement de programmes d'échanges scientifiques et académiques ainsi qu'à la mobilité d'étudiants entre les deux institutions. Il comprend en plus des maladies infectieuses, des recherches sur les maladies chroniques / non transmissibles les plus répandues dans la région comme le diabète, le cancer, les maladies neurodégénératives et génétiques.

Le Réseau international des instituts Pasteur rejoint l'alliance GloPID-R

En octobre 2017, le Réseau international des instituts Pasteur est devenu membre officiel de l’alliance scientifique GloPID-R - Global Research collaboration for infectious diseases preparedness.

GloPID-R est un réseau comprenant 27 organisations de recherche et de financement de la recherche à l'échelle mondiale ainsi que l'OMS. Le but de cette alliance est de s'assurer que les capacités et les ressources en matière scientifique sont en place pour soutenir l'initiation rapide de la recherche en cas de flambée épidémique infectieuse.