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05 septembre 2025

BULLETIN INTERNE DE L'INSTITUT PASTEUR

Institut Pasteur
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PASTEUR2030

CMTV : découvrez les nouveaux portraits de l'équipe qui vous donne rendez-vous le 12 septembre à 14h pour connaitre l’offre de services des plateformes au sein du futur centre

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Le plan stratégique Pasteur 2030 souhaite renforcer le positionnement d’excellence de l’Institut Pasteur en matière de connaissances, de compréhension et de contrôle des infections émergentes, en particulier celles transmises par des vecteurs. 
    
Pour accroitre son impact, et celui de la France, dans ce domaine, l’Institut Pasteur a débuté, en 2023, la construction d’un futur centre de recherche de très haut niveau scientifique et technologique. En rendant possible la réalisation de projets de recherche ambitieux, cette infrastructure contribuera à renforcer le positionnement de l’Institut Pasteur en tant que référence mondiale dans le domaine.

Le premier coup de pioche a été donné en mars 2024 pour la refonte complète des bâtiments historiques, Darré et Borrel. La livraison opérationnelle de la nouvelle infrastructure est prévue d’ici à trois ans, soit à la mi-mai 2028. 

Accessible à l'ensemble du campus, cette infrastructure sera dotée de capacités technologiques de pointe avec, en particulier, des laboratoires spécifiques pour étudier les pathogènes les plus critiques dans des conditions optimales de sécurité, ainsi que les technologies d’imagerie de pointe désormais indispensables pour ce type de recherches.
          
Développé dans le respect des nouvelles normes environnementales, ce futur centre offrira des espaces pour faciliter la collaboration intra- et inter-bâtiments, la transdisciplinarité tout autant que la formation de jeunes chercheurs, et sera l’illustration de la force des alliances multidisciplinaires.

Il s’agit d’un projet phare de la priorité 2 du plan stratégique Pasteur 2030 (lire l'article du BIP du 13 juin), qui bénéficiera de surcroît très étroitement aux travaux de la priorité scientifique 1.
     

Coup de projecteur, à la rentrée, sur l'offre de services des plateformes au sein du futur centre : rendez-vous le 12 septembre à 14h

Pour vous permettre d’en savoir plus sur les services qu’offriront les plateformes au sein de la future infrastructure, ainsi que sur l’avancée du chantier, l’équipe projet vous donne rendez-vous le 12 septembre prochain.        

Intervenants :        

  • Introduction par Anna Kehres, directrice de projet d’infrastructure CMTV.  
     
  • Point sur les services proposés dans les espaces de production de vecteurs et d’infection expérimentale d’hôtes et de vecteurs par Sabine Thiberge, responsable du CEPIA, et Caroline Manet, ingénieure de recherche à l’animalerie centrale.
     
  • Présentation des plateformes de bioimagerie en P3 par Nathalie Aulner, responsable de la plateforme technologique de bioimagerie photonique (PBI), et de Nanoimagerie en P3 par Matthijn Vos, responsable de la plateforme technologique de nanoimagerie (PNI)
     
  • Point sur l’état d’avancement du chantier par Pascal Tenegal, responsable du service immobilier et technique         
     
  • Le CMTV au cœur des priorités scientifiques 1 et 2 par Philippe Bastin et Olivier Schwartz 

Pour suivre la réunion, cliquez sur ce lien


Découvrez l’équipe élargie qui accompagne le projet CMTV


Service RSE

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Hélène da Conceiçao, Patricia Ranga, Jean-Sébastien Clément

1. Qu’est-ce qui vous motive le plus dans votre participation à ce projet ?

Le projet CMTV réunit science, santé publique et société. Ce qui nous motive, c’est donc la force d’un collectif qui participe à un projet en faveur de la protection des populations face aux défis sanitaires que représentent les maladies vectorielles, exacerbées par les bouleversements du climat. C'est une opportunité unique de concrétiser les engagements RSE de l’Institut Pasteur dans une infrastructure dédiée aux enjeux sanitaires mondiaux.

2. Comment votre expertise contribue-t-elle au succès de ce projet ? Quels sont les principaux défis concernant le CMTV pour votre direction ?

Notre contribution s’articule autour de deux axes complémentaires :

1)    Faire des contraintes réglementaires environnementales et, plus largement, des engagements RSE, de véritables leviers de durabilité pour le CMTV. Le principal défi consiste à intégrer des exigences techniques complexes (performance énergétique, biodiversité, gestion de l’eau, analyse du cycle der vie, sobriété et résilience, etc.) au cœur d’un site historique et dense, sans compromettre les ambitions scientifiques ni les exigences de sécurité.

2) Rendre le projet visible, engageant et crédible sous l’angle RSE (durabilité, impact, inclusion). Il s’agit de traduire la complexité du projet et de la recherche en messages clairs, accessibles et exacts, et d’orchestrer un dialogue exigeant avec l’ensemble des parties prenantes : pasteuriennes et pasteuriens – en particulier la GreenTeam –, partenaires RSE, communautés académiques, acteurs institutionnels et associatifs. Le défi : capter l’attention sur un sujet pointu, faire comprendre les enjeux et susciter l’adhésion, sans jamais sacrifier la rigueur scientifique.

3. Si vous deviez décrire le projet CMTV en 3 mots ?

Impact, pérennité et mutualisation.



Direction financière

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Thierry Ribaut, Christophe Rousseau, Véronique Bonnet 
Aux côtés de Juan Alarcon, Carlos Lopez Velazquez, Cynthia Neveu, Arnaud Thery, Fatima-Ezzahra Harrak, Najat Benkanoun, Odile Godard, Emmanuel Salé, Valérie Leroy

1.    Qu’est-ce qui vous motive le plus dans votre participation à ce projet ?

Ce qui nous motive le plus dans notre participation à ce projet est la perspective de contribuer collectivement à la réalisation d’une infrastructure capable d’accueillir des projets de recherche d’envergure, permettant à l’Institut Pasteur de se positionner comme une référence mondiale dans le domaine des maladies infectieuses et vectorielles. Nous souhaitons également démontrer notre agilité dans l’élaboration de stratégies financières innovantes, qu’il s’agisse des achats ou des modèles économiques, au sein d’un environnement projet particulièrement complexe et soumis à un calendrier contraint. Enfin, nous sommes animés par l’idée de contribuer à un projet scientifique majeur intégrant des dimensions sociales fortes, notamment l’insertion professionnelle, tout en menant un travail de sourcing approfondi pour identifier les meilleurs partenaires

2.    Comment votre expertise contribue-t-elle au succès de ce projet ? Quels sont les principaux défis concernant le CMTV pour votre direction ? 

Nos différentes expertises au sein de la Direction financière contribuent au succès du CMTV, grâce à une forte mobilisation des équipes. De manière transversale, les principaux défis pour la Direction Financière concernent la maîtrise des investissements, l’équilibre entre exigences scientifiques, coûts et délais, la gestion d’un volume de flux financiers exceptionnel et la sécurisation des financements externes.

En pilotage projet et en contrôle de gestion des investissements, nous avons mis en place, en étroite collaboration avec les équipes concernées, des outils permettant de suivre et de piloter la bonne exécution des volets immobilier (économie du chantier), équipements et budget global du projet, avec un accent particulier sur le pilotage et l’anticipation des coûts à terminaison. Le principal défi consiste à maîtriser les investissements tout au long du projet.

Au sein du département Achats, nous avons structuré une stratégie d’achat responsable déployée en plusieurs phases, intégrant des critères RSE innovants et appuyée par une charte fournisseurs désormais généralisée. Le défi majeur réside dans la conciliation d’exigences scientifiques élevées avec la maîtrise des coûts et le respect du calendrier.

En contrôle de gestion, nous établissons un business case afin de mesurer les impacts financiers et d’évaluer les bénéfices du projet, dans l’objectif d’en maximiser la rentabilité. Nous visons un chiffrage financier au plus juste, aligné avec les attentes et priorités de chacune des parties prenantes.

En comptabilité fournisseurs, nous garantissons le traitement rigoureux et diligent des situations de travaux à l’avancement (factures) et de leurs paiements dans les délais, afin d’éviter tout retard susceptible d’impacter la réalisation du chantier. Le principal défi tient au volume des flux financiers générés par ce projet.

Enfin, en trésorerie, nous mettons en œuvre notre expertise en matière de financement et de négociation d’emprunts, et contribuons activement aux discussions ainsi qu’à l’argumentation en faveur d’un financement par la Région.

3.    Si vous deviez décrire le projet CMTV en 3 mots ? 

Innovant, parce que ce projet de recherche intègre des technologies et des approches de pointe au service de la science. Responsable, car il inclut des critères RSE, avec l’insertion professionnelle et des engagements environnementaux concrets. Ambitieux : par sa taille, sa localisation géographique, son caractère innovant à travers les objectifs scientifiques et technologiques qui y seront proposés, et porté collectivement par une équipe transverse. 


Direction des ressources humaines

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Laurent Depigny

1.    Qu’est-ce qui vous motive le plus dans votre participation à ce projet ?

L’opportunité de contribuer à ce projet stratégique et innovant visant la construction d’un futur centre de recherche de très haut niveau scientifique et technologique qui permettra de mieux lutter contre les maladies infectieuses émergentes est une source de motivation importante.

De plus, en tant que professionnels issus d’une fonction support, ce projet nous permet de collaborer et d’échanger avec les différentes équipes mobilisées : fonctions scientifiques, plateformes technologiques, pilotage projet, autres fonctions support…

2.    Comment votre expertise contribue-t-elle au succès de ce projet ? Quels sont les principaux défis concernant le CMTV pour votre direction ? 

La direction des ressources humaines joue un rôle important dans la réussite du projet. Elle informe régulièrement les instances représentatives du personnel de l’avancement à chaque étape, afin d’assurer transparence et dialogue social. Elle pilote le staffing et accompagne la montée en compétences des équipes qui intégreront l’infrastructure, en coordonnant les recrutements, la mobilité interne et les actions de formation. Elle prépare et conduit également le changement en amont puis au moment de l’emménagement dans le nouveau bâtiment, en soutenant les managers et les équipes pour garantir une transition fluide et sécurisée.

Les principaux défis consistent à doter le projet, dès son lancement, des ressources humaines nécessaires et à permettre à chacun d’exercer son métier avec passion dans des conditions de travail optimales, en assurant un haut niveau de sécurité et de prévention des risques.

3.    Si vous deviez décrire le projet CMTV en 3 mots ? 

Innovation, synergie et collaboration.


Direction de la communication et des affaires publiques

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Margot Provot

1.    Qu’est-ce qui vous motive le plus dans votre participation à ce projet ?

Je suis ravie de contribuer à ce projet emblématique du plan stratégique Pasteur 2030. La perspective d’offrir aux chercheurs un environnement propice à des avancées majeures sur les maladies vectorielles me motive particulièrement, d’autant qu’il renforcera le rayonnement scientifique international de l’Institut Pasteur. Faire partie de l’équipe projet est aussi une source d’apprentissage et d’émulation, grâce à l’expertise d’une équipe pluridisciplinaire, compétente et pleinement engagée.

2.    Comment votre expertise contribue-t-elle au succès de ce projet ? Quels sont les principaux défis concernant le CMTV pour votre direction ? 

En tant que référente CMTV pour la Direction de la communication et des Affaires publiques, j’assure le lien entre l’équipe projet et les parties prenantes internes. Les enjeux sont doubles : en interne, fédérer les pasteuriennes et pasteuriens autour du futur centre ; en externe, accroître la visibilité d’un centre unique en Europe et favoriser l’adhésion des riverains et partenaires. La magnifique fresque qui orne désormais les grilles de l’Institut, réalisée grâce au travail de mes collègues Laurence Isnard et Kadidia Simeon, illustre ce pont entre le campus, la communauté pasteurienne, le projet de rénovation du musée et le grand public. Le principal défi consiste à articuler, dans la durée, mobilisation interne et rayonnement externe, en synchronisant nos temps de communication avec ceux du projet.

3.    Si vous deviez décrire le projet CMTV en 3 mots ? 

Ambitieux, stratégique, collectif !


Délégué à la sécurité et à la sûreté

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Romain Girod

1.    Qu’est-ce qui vous motive le plus dans votre participation à ce projet ?

Etant entomologiste médical de formation et de carrière, ce projet visant à rassembler des moyens humains et technologiques inédits autour de la recherche sur les maladies infectieuses émergentes et en particulier à transmission vectorielle, me tient tout naturellement à cœur. Contribuer à rendre possible la réalisation de programmes de recherche et de santé publique ambitieux et collaboratifs, avec notamment le Pasteur Network, est pour moi une grande source de motivation.

2.    Comment votre expertise contribue-t-elle au succès de ce projet ? Quels sont les principaux défis concernant le CMTV pour votre direction ? 

L’enjeu est pour moi d’optimiser l’organisation des opérations de recherche qui seront menées au sein de la future infrastructure afin de permettre à la communauté scientifique pasteurienne de développer une recherche portant sur la compréhension des interactions hôtes-vecteurs-pathogènes et la réduction des effets des changements environnementaux, notamment climatiques, sur la santé humaine.

3.    Si vous deviez décrire le projet CMTV en 3 mots ? 

Intégratif, ambitieux, innovant

 

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