03 mars 2017
Bulletin interne de l'Institut Pasteur
En identifiant formellement le principal acteur de la fusion entre les deux cellules sexuelles mâle et femelle, des chercheurs de l’Institut Pasteur, du CNRS et de l’université Paris Descartes, associés à des équipes américaines et allemandes, dévoilent l’origine virale probable de ce processus de fusion, commun à une grande partie des organismes vivants sur Terre. L’étude fournit en outre de nouvelles pistes de recherche à perspective thérapeutique, visant à bloquer cette fusion chez les pathogènes qui y ont recours, comme l’agent du paludisme. Ces résultats ont été publiés le 23 février 2017 dans la revue Cell.