21 octobre 2016
Bulletin interne de l'Institut Pasteur
Des chercheurs de l’Institut Pasteur, en collaboration avec l’Institut Gustave-Roussy, ont identifié deux espèces bactériennes de notre organisme, Enterococcus hirae et Barnesiella intestinihominis, qui potentialisent l’effet d’un traitement courant de chimiothérapie : le cyclophosphamide. Les scientifiques avaient déjà prouvé récemment le rôle de notre microbiote dans l’efficacité des chimiothérapies. Cette fois-ci, ils ont caractérisé deux bactéries responsables de cette activité.